En Allemagne, en France, en Belgique, en Suède et malheureusement aussi en Suisse : partout, nous assistons à des excès de violence de la part d’étrangers, faute à l’immigration de masse et au chaos de la politique d’asile.
Les gros titres pullulent : les villes européennes sont le théâtre d’actes de violence en série, lors desquels même les policiers, les ambulanciers et les pompiers sont attaqués. Le schéma est toujours le même : les auteurs de ces violences sont des étrangers non-intégrés, notamment des jeunes hommes originaires d’Afghanistan, de Syrie ou d’Afrique du Nord, qui ont obtenu l’asile et témoignent de leur gratitude en brûlant des voitures ou en tirant des roquettes sur les forces de sécurité.
Les exemples sont aussi innombrables qu’effrayants. Après les succès de l’équipe nationale de football marocaine à la Coupe du monde au Qatar, des immigrés maghrébins ont « fêté » leur victoire en semant la destruction à travers la ville de Bruxelles. Une honte pour la métropole de l’UE.
Même tableau chez nos voisins directs : « La France ne parvient pas à maîtriser la violence », titrait le « Blick ». Cela vaut pour Paris, mais aussi pour Mulhouse, à seulement une demi-heure de Bâle ; la cause ici aussi : « l’échec de l’intégration ».
Les conséquences brutales de l’immigration de masse se manifestent également en Suède, connue pour sa politique d’immigration libérale, où les bandes criminelles et les islamistes y font régner la terreur. La Suède, autrefois un pays de paix, a désormais le taux d’homicides le plus élevé d’Europe. « Rien que pendant les fêtes de fin d’année, des fusillades ont fait 3 morts et plusieurs blessés dans la région de Stockholm », rapporte le « Blick ». La raison ? Vous l’avez compris : l’immigration de masse.
Des criminels étrangers brutaux en Suisse
Quid de la situation en Suisse ? Elle est malheureusement toujours plus dramatique ici aussi. « Quatre Turcs tabassent un homme à la gare de Saint-Gall, la victime à l’hôpital », rapporte le « Blick ». Les faits se sont déroulés le jour de Noël. A Brugg, en Argovie, un Irakien est jugé pour avoir fracturé le crâne de sa fille de quatre ans. La violence domestique, qui peut aller jusqu’au meurtre de l’ex-partenaire, fait maintenant sinistrement partie du quotidien chez nous aussi.
Stopper l’immigration de masse
Les faits parlent d’eux-mêmes : la majeure partie de la violence en Europe et en Suisse est importée. Tous les partis, à l’exception de l’UDC, ferment les yeux sur cette réalité, s’en rendant ainsi complices.