Nous avons besoin de toujours plus d’énergie. L’explosion de la croissance démographique nous oblige désormais, soi-disant, à sacrifier notre nature suisse sur l’autel de la secte climatique et à paver nos prairies, nos forêts et montagnes d’éoliennes et de panneaux solaires.
Nous devons nous unir maintenant contre les prétendus « écologistes » qui veulent détruire notre nature suisse sans sourciller et contre les centralistes qui veulent saper l’autonomie de nos communes.
La loi sur l’électricité a de bonnes idées, mais cela s’arrête là. Même avec la nouvelle loi, nous n’augmenterons que très peu le degré d’autosuffisance dans le domaine de l’énergie. Quel en sera le prix ? La destruction de notre nature et de nos sites et l’érosion de l’autonomie de nos communes. C’est donc avec conviction que je voterai NON le 9 juin à la loi sur l’électricité.
Le mot « sûr » dans le titre de l’objet de la votation « pour un approvisionnement en électricité sûr… » pourrait prêter à rire si la situation de départ n’était pas aussi grave. En effet, il n’est pas question en Suisse d’un approvisionnement énergétique sûr grâce aux énergies renouvelables. Les 5 plus grands parcs solaires et éoliens prévus fourniraient ensemble tout juste assez d’énergie pour couvrir les besoins énergétiques supplémentaires d’une année d’immigration nette !
Si l’on veut mener une politique énergétique durable dans notre pays, il faut tout d’abord mettre un terme à l’immigration de masse. Ensuite, il sera possible de discuter de sources d’énergie alternatives (y compris le nucléaire, bien entendu). La protection de nos paysages doit toutefois être une priorité absolue.