Ce n’est qu’en nous défendant que nous pourrons mettre un terme à cette folie de l’asile et de l’immigration !

Je me réjouis de vous voir si nombreux ici, dans la belle ville de Küssnacht. Ce qui me réjouit moins, c’est l’afflux massif et incontrôlé d’étrangers dans notre pays. Pour parler franchement : trop d’étrangers entrent en Suisse et pas les bons !

Marco Chiesa
Marco Chiesa
Président Ruvigliana (TI)

Mesdames et Messieurs, la Suisse déborde de toutes parts. Rien que l’année dernière, la population étrangère a augmenté de plus de 81’000 personnes (solde net). C’est autant que la ville de Lucerne et plus que celle de Saint-Gall, ou presque cinq fois la population de l’ensemble du canton d’Appenzell Rhodes-Intérieures.

Mais ce n’est pas tout ! Il faut y ajouter 74’959 Ukrainiens et 24’511 demandeurs d’asile. Cela fait un total de plus de 180’000 personnes.

Dans le domaine de l’asile, c’est le chaos le plus total. Personne ne s’oppose à ce que l’on accorde une protection temporaire aux personnes réellement persécutées. Mais la plupart des demandeurs d’asile ne sont pas des réfugiés au sens de la loi : Ce sont des touristes de l’asile qui profitent de notre système.

C’est la population suisse qui doit payer. Pour l’année en cours, la Confédération budgète 4 milliards de francs d’impôts rien que pour l’asile ! 4 milliards, c’est énorme ! A titre de comparaison, nous dépensons 3.7 milliards pour l’agriculture et 5.3 milliards pour l’armée. Alors que l’armée rend notre pays sûr, les touristes de l’asile le rendent peu sûr, c’est là toute la différence. Le taux de criminalité est plus élevé chez les demandeurs d’asile, les statistiques le prouvent clairement.

On ne parle pas uniquement de délits mineurs ; les demandeurs d’asile sont également en tête du sinistre hit-parade des crimes graves : harcèlement sexuel, lésions corporelles graves, viols, homicides ou actes sexuels avec des enfants.

Les gros titres pleuvent : « Un Erythréen frappe une femme et un adolescent, les envoyant à l’hôpital », pouvait-on lire après un incident à Zurich. « Deux Erythréens blessés et cinq arrêtés provisoirement : Grande intervention de la police après une bagarre dans un restaurant », pouvait-on lire après un incident à Lucerne. Cela dure depuis longtemps. « Lors d’un voyage en train, un homme de 23 ans viole une femme travaillant sur son ordinateur portable dans un wagon-restaurant CFF vide », a rapporté la NZZ. Cet « homme de 23 ans » est un requérant d’asile marocain débouté ayant des antécédents judiciaires pertinents.

Débouté ? Oui, vous avez bien entendu. Ce cas illustre à quel point notre système d’asile est malade et pervers : bien que l’homme ait un casier judiciaire et que sa demande d’asile ait été rejetée, il a pu rester en Suisse.

Les chiffres et les faits le montrent : Est-ce que ce sont des femmes et des filles particulièrement nécessiteuses qui viennent en Suisse par la voie migratoire ? Non, ce sont surtout des jeunes hommes qui viennent d’Afrique du Nord et du monde arabe. De jeunes hommes ayant un potentiel de violence élevé et une forte propension à la délinquance.

Et savez-vous ce qui est le plus fou ? Pour faire de la place à de tels malfaiteurs, les locataires suisses doivent quitter leur logement ! Mais quelle est cette folie ?

Nous l’avons vu à Seegräben ou à Windisch : L’afflux massif de faux demandeurs d’asile inonde des villages entiers. La tendance est également à « l’hôtel asile » : A Wildegg, le canton d’Argovie veut loger 100 demandeurs d’asile dans un hôtel. A Wolfisberg, qui appartient à la commune de Niederbipp, 120 demandeurs d’asile devraient être hébergés. Aujourd’hui, 180 personnes y vivent. Ce sont des conditions malsaines.

Mesdames et Messieurs, chers amis de l’UDC, cela ne peut pas continuer ainsi. Windisch, Wildegg, Wolfisburg… bientôt chez vous, bientôt partout !

L’immigration de masse et la folie de l’asile renforcent la crise du logement. Les prisons sont pleines d’étrangers. Les hôpitaux sont surchargés. Les routes sont encombrées, les trains sont bondés. Les femmes deviennent des proies. 

Nos enfants sont également concernés et avec eux, notre avenir. Eux aussi souffrent de cette politique irresponsable et – je dois le dire aussi franchement – tout simplement criminelle dans ses conséquences. Dans certaines écoles, il n’y a presque plus d’élèves germanophones ou francophones. Dans la cour de récréation, on parle désormais albanais, frère ! L’enseignement en souffre, le niveau baisse.

On se sent de plus en plus étranger dans notre propre pays. L’intégration ne peut plus se faire ainsi. Nos valeurs et nos traditions se perdent. 

Et que fait la conseillère fédérale en charge, Elisabeth Baume-Schneider ? Rien ! Elle ne lève pas le petit doigt pour mettre enfin un terme au chaos de l’asile, bien au contraire : Mme Baume-Schneider veut faire venir encore plus de demandeurs d’asile en Suisse. Et qui doit alors en faire les frais ? Mme Baume-Schneider avec son salaire de conseillère fédérale de près d’un demi-million de francs ? Mme Baume-Schneider dans son bureau luxueux et protégé ?

Non, Mesdames et Messieurs, c’est la population qui en fait les frais. Ce sont les gens ordinaires, dont l’appartement est aussi grand que le bureau de la conseillère fédérale Baume-Schneider, qui en font les frais. Les personnes qui sont confrontées quotidiennement aux conséquences de cette politique du chaos dans les écoles, les hôpitaux, etc. en font les frais. Ce sont les pendulaires des transports publics qui en font les frais. Des requérants d’asile ivres, violents, qui font du grabuge, qui harcèlent sexuellement les femmes et qui les violent même dans le wagon-restaurant des CFF.

Madame Baume-Schneider, dans sa limousine fédérale chauffeur privé, n’est absolument pas inquiétée. Elle semble s’en moquer totalement. Mais nous, nous nous en soucions, Mesdames et Messieurs ! Montrons à cette conseillère fédérale indifférente que sa politique ne fonctionne pas, que sa politique nous nuit, que sa politique ruine notre belle Suisse et notre avenir !

Pourtant, on ne peut même pas en vouloir aux demandeurs d’asile. Nous ne condamnons pas les demandeurs d’asile, mais la politique d’asile erronée et irresponsable des autres partis. Nous avons condamné ceux qui font fonctionner ce système défaillant. Ceux qui permettent que l’on se moque – pardon – de nous à tout bout de champ.

La gauche rose-verte en particulier est la championne du monde de l’hypocrisie. Elle prétend aider les pauvres, mais celui qui vient d’Afrique en Suisse n’est pas pauvre. Il paie pour cela des milliers de francs. La gauche rose-verte soutient ainsi les passeurs, des trafiquants d’êtres humains criminels. Ce trafic d’êtres humains sous le couvert de l’asile est un business qui se chiffre en milliards. Mais au lieu de mettre enfin un terme à ce drame indigne, les autres partis l’alimentent encore avec leur politique d’asile ratée. 

A l’UDC, nous sommes les seuls à faire quelque chose contre l’immigration de masse et cette folie de l’asile. Nous sommes du côté de la population, nous prenons ses soucis et ses besoins au sérieux. Prenez l’initiative contre l’immigration de masse, que le peuple a acceptée. Prenez l’initiative sur le renvoi, que le peuple a acceptée. Prenez l’initiative sur les minarets, que le peuple a acceptée. Prenez l’initiative sur la dissimulation du visage, que le peuple a acceptée. 

Mais les autres partis et la majorité de centre-gauche au Parlement sabotent cette volonté populaire. Nous ne pouvons pas l’accepter, Mesdames et Messieurs ! Je vous appelle donc à la résistance politique contre cette politique erronée, contre ce trafic criminel d’êtres humains, contre cette gestion irresponsable du chaos qui nuit à nos enfants, à nos femmes et à nous tous ! 

Défendez-vous, comme l’a fait la commune de Hitzkirch dans le Seetal lucernois. L’UDC y a réussi à faire aboutir une initiative communale qui s’oppose au changement d’affectation des installations scolaires, sportives et de loisirs. Les écoles ne doivent pas devenir des lieux d’hébergement pour les touristes criminels de l’asile ! Défendez-vous, comme le fait la commune bernoise de Wolfisberg avec une pétition contre le centre d’asile prévu. Défendez-vous partout contre cette politique d’asile erronée en lançant des initiatives, en intervenant dans les parlements, en écrivant des lettres de lecteurs, etc.

 

Ce n’est qu’en nous levant et en nous défendant que nous pourrons enfin mettre un terme à cette folie ! Merci.

Marco Chiesa
Marco Chiesa
Président Ruvigliana (TI)
 
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