La criminalité importée a massivement augmenté en Suisse depuis la conclusion de l’accord de Schengen et l’onéreuse ouverture des frontières (500 millions de francs au lieu des 70 millions annoncés).
La criminalité importée a massivement augmenté en Suisse depuis la conclusion de l’accord de Schengen et l’onéreuse ouverture des frontières (500 millions de francs au lieu des 70 millions annoncés). Ce fait est incontestable, notamment depuis qu’il a été avéré par une étude scientifique du professeur Kilias qui n’est certainement pas un sympathisant de l’UDC.
Mais ce que l’on ignore souvent, c’est que nous avons affaire à deux types de criminalité: d’une part, d’une forme habituelle qui est condamnée par tous et qui va de l’attaque de banque au meurtre, en passant par le trafic de drogues et les lésions corporelles, et, d’autre part, une forme d’origine culturelle qui se déroule de manière presque inaperçue et dont les milieux bien-pensants affirment qu’elle est « explicable », « compréhensible » et presque « inévitable ». Cette dernière forme de criminalité provient du fait que des personnes issues de cultures lointaines viennent en Suisse alors que le système légal et religieux de leur pays d’origine est incompatible avec un Etat de droit moderne. Ce constat concerne principalement l’islam dont le dogme composé du coran, de la sunna et de la sharia ne constitue pas seulement une pratique religieuse, mais un régime légal complet qui entre en concurrence avec le nôtre.
Même la Cour européenne des droits de l’homme a retenu dans un jugement prononcé en 2002 que la sharia est incompatible avec l’Etat de droit. Quel rapport entre ce constat et la réalité vécu en Suisse? Compte tenu de la libre circulation des personnes limitée aux pays UE et des accords de Schengen/Dublin, l’immigration en provenance de pays islamiques devrait être très faible.
Or, il n’en est rien!
Pourquoi?
Premièrement, parce que l’Italie, la Grèce et l’Espagne ne contrôlent pas leur frontière sud, idem pour la Pologne avec sa frontière est, si bien que la frontière extérieure Schengen est totalement perméable. Deuxièmement, parce que l’accord de Dublin ne fonctionne pas, car la Suisse ne peut renvoyer des requérants d’asile en Grèce, pays du premier accueil, et parce que l’Italie n’accepte de reprendre qu’un très petit nombre de requérants – à condition que ce pays enregistre réellement les requérants comme pays de premier accueil.
La conséquence est que les étrangers immigrent en masse en Suisse avec un visa Schengen, des étrangers notamment pour lesquels le dogme religieux passe avant le régime légal de leur pays d’accueil. Et comme on intègre de moins en moins et qu’on parallélise de plus en plus dans l’espace européen, on voit surgir des ghettos monoculturels. Le droit civil et pénal de l’Etat de droit y est suspendu ou les autorités renoncent à l’imposer.
Dans ces ghettos évités par la police on assiste soudainement à des châtiments corporels imposés aux femmes, à des mariages forcés, à la violence contre lesdits « infidèles », à des abattages rituels d’animaux dans les arrière-cours, à des jugements fondés sur le droit sharia. Dans cet environnement, les fondamentalistes peuvent tout à loisir faire pression sur leurs coreligionnaires qui seraient prêts à s’intégrer.
Et que fait notre gouvernement?
Que font les médias?
Ils détournent le regard!
Ils refusent d’admettre une vérité inconfortable et préfèrent plonger la tête dans le sable. Ils permettent ainsi l’émergence d’un espace dans lequel certaines pratiques sanctionnées par notre droit pénal sont justifiées par une doctrine légale qui nous est étrangère. Nos bienpensants appellent à la tolérance et invoquent le multiculturalisme pour fort curieusement justifier ce qu’ils combattent depuis trente ans, à savoir l’inégalité entre l’homme et la femme et l’antisémitisme qui prend des formes de plus en plus virulentes dans les milieux islamiques.
Face à ces dysfonctionnements et pour empêcher que la Suisse, après avoir atteint entre-temps le standard européen en termes d’insécurité, se retrouve également dans une situation intenable au niveau de la cohabitation à l’image de la France, de la Belgique, des Pays-Bas ou de la Grande-Bretagne, l’UDC Suisse m’a prié de présenter notre analyse et les exigences qui en découlent dans un document de fond. Ce document est désormais à la disposition du public et des médias et il peut être demandé à l’entrée de cette salle.
Nous y posons les revendications suivantes qui sont pour nous indiscutables:
Chers Amis de l’UDC, nous avons l’obligation de protéger notre Etat contre toute infiltration par des forces totalitaires. Il est intolérable que les principes libéraux de l’Etat de droit soient utilisés pour désagréger et finalement neutraliser cet Etat.