Nous voulons connaître l’opinion des citoyennes et citoyens de ce pays. L’UDC lance donc une consultation populaire sur le thème de la politique d’asile et des étrangers. Un questionnaire à…
Nous voulons connaître l’opinion des citoyennes et citoyens de ce pays. L’UDC lance donc une consultation populaire sur le thème de la politique d’asile et des étrangers. Un questionnaire à renvoyer jusqu’au 31 octobre permettra à la population suisse de communiquer ses convictions et idées sur la politique d’asile et des étrangers. Les autres partis politiques ne cessent de clamer que tout va pour le mieux et que les étrangers ne posent aucun problème en Suisse. Ils préfèrent ignorer les craintes et les soucis de la population; ils ne veulent pas savoir qu’un nombre croissant de Suissesses et des Suisses se sentent étrangers dans leur propre pays. L’UDC a donc décidé d’agir et pose une exigence fort simple: celles et ceux qui ne respectent pas nos règles, donc qui abusent de notre hospitalité, doivent quitter la Suisse.
Hausse de la criminalité en Suisse: la peur règne
Avec l’introduction de la libre circulation des personnes et l’ouverture des frontières, la Suisse a perdu le contrôle de l’immigration. Notre pays compte une des plus fortes proportions d’étrangers du monde. En l’espace de soixante ans, la population étrangère a presque quadruplé! Nombre de ces immigrants refusent de s’intégrer et d’observer nos règles. Ce problème d’intégration se répercute aussi sur le marché du travail. La proportion d’étrangers parmi les chômeurs dépasse déjà 43% (juin 2010). Conséquence du nombre croissant d’abus, nos institutions sociales autrefois solides glissent dans les chiffres rouges. C’est une évidence: nous nous engageons dans une spirale négative.
Et que fait-on faute d’un horaire quotidien réglé, faute de volonté de s’intégrer? On songe à des bêtises, pour utiliser un langage populaire. Et c’est une réalité: aujourd’hui, plus de la moitié des délinquants condamnés en Suisse sont des étrangers. De plus en plus de personnes n’osent plus sortir seules dans la rue; des parents inquiets conduisent leurs enfants à l’école et vont les y chercher. Ces craintes ne sont pas infondées, bien au contraire. Comment ne pas être choqué en apprenant qu’un père a tué sa fille à coups de hache ou qu’une jeune femme a été violée par trois hommes. Les auteurs de ces actes sont des étrangers. Or, des crimes aussi odieux commencent à faire partie du quotidien suisse.
L’UDC prend la population au sérieux
L’UDC refuse de fermer les yeux devant ces graves problèmes – contrairement à la classe politique, au Conseil fédéral et aux autres partis qui prétendent que la Suisse n’a aucun problème avec les étrangers et qui écartent d’un revers de main les soucis et les opinions de la population. Ce n’est pas le cas de l’UDC qui prend au sérieux les avis des citoyennes et des citoyens et qui les reprend à son compte. Tous les ménages suisses recevront demain un journal sur le thème de la politique d’asile et des étrangers. Cette publication traite de manière ouverte et honnête les questions entourant cette thématique; elle présente et analyse des faits avérés concernant le nombre réel d’étrangers résidant en Suisse ou de ceux vivant aux frais des assurances sociales. Les lecteurs trouveront au cœur de cette brochure un questionnaire qu’ils peuvent remplir et renvoyer jusqu’au 31 octobre. Il est également possible de répondre à ces questions en ligne sur le site www.consultation-populaire.ch.Cette consultation sera annoncée par une campagne d’affiches et d’annonces dans les journaux. Un blog sera ouvert pour débattre de manière critique, échanger des avis et proposer des solutions.
Rétablir la sécurité en Suisse!
Il faut régler clairement les cas où les étrangers doivent quitter la Suisse, par exemple s’ils refusent de respecter nos règles ou commettent des crimes graves. C’est exactement ce que veut l’initiative UDC sur le renvoi des étrangers criminels qui sera enfin soumise au peuple en novembre prochain. Nous voulons davantage de sécurité pour le peuple suisse; nous refusons que les institutions sociales et l’assurance-chômage soient lourdement déficitaires à cause d’une immigration excessive. Notre consultation donne enfin au peuple suisse l’occasion de dire ce qu’il veut et quelles mesures il souhaite pour stopper cette dérive. Nous invitons la population suisse à dire son avis, à participer à la politique d’asile et des étrangers au lieu de faire le poing dans la poche.