Les dispositions retenues par le Parlement présentent deux éléments que nous ne sommes pas parvenus à supprimer malgré un nombre très important de propositions dans ce sens. Demeurent en effet deux innovations choquantes, à savoir la remise en cause du droit de propriété et la mise à disposition d’un avocat gratuit pour les requérants en cours de procédure.
La Loi fédérale sur l’Expropriation (LEx) qui encadre très clairement les conditions requises précise que "le droit d’expropriation peut être exercé pour des travaux qui sont dans l’intérêt de la Confédération ou d’une partie considérable du pays, ainsi que pour d’autres buts d’intérêt public reconnus par une loi fédérale" suivi du second alinéa "Il ne peut s’exercer que dans la mesure nécessaire pour atteindre le but poursuivi". Au vu de ces dispositions, force est de constater que Berne considère l’accueil des migrants comme un but d’intérêt public. Nous souhaitons donc connaitre l’avis de la population suisse quant à ce qu’elle considère comme son intérêt.
L’avocat gratuit ensuite. On prévoit désormais de proposer aux requérants un avocat gratuit, comprenez payé par le contribuable, pour les assister tout au long de la procédure. Cette opportunité ne manquera pas de retarder toute décision définitive le plus longtemps possible, le mandataire stipendié veillant bien sûr à prolonger son mandat et donc le séjour de son client. Une petite démonstration par l’absurde maintenant en revenant sur les événements du Nouvel-An en Allemagne mais aussi en Autriche et chez nous. Les migrants auteurs de ces lâches agressions voire viols, s’ils sont identifiés, bénéficieront bien sûr de l’assistance judiciaire gratuite, c’est-à-dire là-encore payée par le contribuable, pour atténuer une improbable sévérité de la justice. Il appartient donc d’ores et déjà aux victimes de financer la défense de leurs bourreaux selon l’article 29 de notre Constitution. Avec le texte que nous combattons, il faudra en plus assister ces gens au cours de la procédure administrative et donc prolonger leur séjour chez nous alors qu’il faudrait au contraire les chasser au plus vite, tout du moins avant qu’ils ne récidivent, ruinant ainsi la vie d’autres femmes. Je rappelle à ce propos que nous nous prononcerons le 28 février prochain sur notre initiative de mise en œuvre visant précisément à expulser les étrangers coupables de crimes ou délits graves. On voit là une nouvelle fois à quel point il est important que peuple et cantons soutiennent notre texte pour rétablir la sécurité sur notre sol et rappeler que séjourner en Suisse implique le respect de nos us et coutumes et de nos lois.
Pour en revenir à Nouvel-An, j’ai été frappée par le silence assourdissant des passionarias traditionnelles de la cause féministe qui n’ont pas exprimé beaucoup d’indignation face à ces requérants qui voient en toute femme un objet apte à satisfaire toute pulsion sexuelle de bas étage. Il est vrai que nombre d’entre elles sont aussi régulièrement au front pour défendre la cause des migrants.
Aujourd’hui, nous ne pouvons plus nous leurrer quant à cet afflux de requérants qu’on nous disait ingénieurs, médecins, ouvriers qualifiés et autres qualités susceptibles de doper la croissance. Pour l’essentiel, il s’agit d’homme jeunes, sans qualifications, pour certains analphabètes et souvent imprégnés par une vision de l’Islam clairement insoluble dans notre société. Il convient donc bien évidemment de ne surtout pas ancrer dans la loi sur l’Asile une disposition permettant à ces gens de prolonger leur séjour sur notre terre et de nous imposer ainsi leurs coutumes d’un autre âge.
Quelques mots pour terminer, tirés des propos d’Angela Merkel, grande bienfaitrice de la migration sans contrôle, "nous devons accepter que le taux de criminalité chez les jeunes migrants soit particulièrement élevé". Chez les jeunes migrants, précisément ceux qui nous arrivent.