Le groupe UDC s’est engagé pour la Suisse durant la législature 2019-2023, conformément à ses « objectifs de législature 2019-2023 ». Le bilan de 4 années de majorité de centre-gauche au Parlement est toutefois accablant : la Suisse se trouve aujourd’hui affaiblie. C’est la conséquence du désastreux virage à gauche lors des élections de l’automne 2019. Il faut corriger cette politique le 22 octobre 2023 ! Nous avons urgemment besoin à Berne de plus de politiciens de l’UDC, qui s’engagent pour une Suisse indépendante et des conditions-cadres optimales pour l’économie.
Malgré cette situation de départ difficile, l’UDC a remporté de nombreuses victoires au cours de la dernière législature. Ainsi, la coûteuse loi sur le CO2, qui aurait renchéri l’essence et le diesel de 12 centimes supplémentaires par litre, doublé la taxe CO2 sur le mazout et le gaz et prévu une taxe sur les billets d’avion pouvant aller jusqu’à 120 francs, a été rejetée dans les urnes par le souverain le 13 juin 2021. Cette loi antisociale aurait frappé de plein fouet les personnes à bas revenus et la classe moyenne.
Par ailleurs, le 26 juin 2021, le Conseil fédéral a enterré l’accord-cadre institutionnel avec l’UE. L’obligation de reprise dynamique, c’est-à-dire automatique, du droit et l’adoption de la juridiction de l’UE auraient constitué des violations existentielles de notre Constitution nationale et auraient violé de manière flagrante les valeurs fondamentales et porteuses de la Confédération suisse depuis des siècles, qui sont également inscrites dans la Constitution fédérale. L’accord n’aurait pas respecté l’indépendance du pays, les droits du peuple suisse, la neutralité et le fédéralisme. En conséquence, il aurait mis en danger la prospérité de la Suisse.
Malgré le rejet de ce traité, le Conseil fédéral a adopté le 21 juin 2023 les paramètres d’un nouveau mandat de négociation avec l’UE. Si le Conseil fédéral s’en tient à la reprise dynamique, c’est-à-dire automatique, du droit et de la juridiction de l’UE, et donc à la mise à l’écart du peuple suisse, l’UDC combattra également cet accord avec véhémence.
Enfin, le 7 décembre 2022, Albert Rösti a été élu au Conseil fédéral, où il a pris la tête du Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) au 1er janvier 2023. Il y a mis fin à l’aveuglement en matière de politique énergétique, marqué par une idéologie gauche rose-verte, et se concentre depuis lors sur un approvisionnement énergétique sûr et abordable.
Mais dans de nombreux autres domaines politiques, les défis restent importants. L’afflux de dizaines de milliers de migrants demandeurs d’asile pousse les cantons et les communes à bout. Rien qu’au niveau fédéral, l’asile coûtera cette année 4 milliards de francs aux contribuables. Depuis l’an 2000, la population suisse a augmenté d’environ 1.5 million de personnes. Chaque année, environ 80’000 personnes supplémentaires viennent s’y ajouter et la population suisse en subit les conséquences : pénurie de logements, manque d’électricité, embouteillages sur les routes, trains et transports publics bondés, revenu par habitant stagnant, primes d’assurance maladie toujours plus élevées, institutions sociales endettées, bétonnage de nos beaux paysages, baisse du niveau scolaire et hausse de la criminalité. La politique climatique idéologique de ces dernières années et la forte immigration mettent en péril un approvisionnement énergétique sûr et abordable – et font exploser les prix de l’énergie, ce qui pèse sur les familles, la classe moyenne et les entreprises. L’érosion de la neutralité suisse met en danger notre paix et notre stabilité. Et les nouvelles tentatives de rapprochement avec l’UE visent la liberté et la souveraineté de la Suisse ainsi que la démocratie directe.
L’UDC est le seul parti qui s’oppose systématiquement à cette politique et qui se porte garant des Suissesses et des Suisses. Prenez soin de notre Suisse : vous aussi, donnez votre voix à l’UDC ! Merci.