Que serait la Suisse sans l’UDC?

Jonathan Zbinden, le plus jeune candidat UDC au Conseil national, Rüschegg (BE)

Si l’UDC n’existait pas, la Suisse serait aujourd’hui membre de l’UE, probablement aussi membre de l’OTAN, et nous en payerions tous la facture sous la forme d’une augmentation des impôts pour une bureaucratie totalement inefficace et pour des gens qui se promènent dans le monde entier et courent d’une conférence à l’autre aux frais de la princesse. Sans l’UDC, la dette publique s’alourdirait encore plus vite et sans que personne ne s’en préoccupe, les impôts augmenteraient jusqu’à ce que nous soyons obligés de travailler toute notre vie pour l’Etat. La sécurité dans la vie quotidienne serait probablement si compromise que je devrais songer à porter une arme pour faire des commissions ou sortir le soir. Mais au moins mon amie ne sortirait-elle pas sans moi qui la protégerais.

Sécurité et liberté

Une vie en toute sécurité, liberté et indépendance, voilà l’objectif de chaque jeune d’aujourd’hui. Mais pour que cette idée se réalise et que ce désir devienne réalité, il faut absolument des jeunes qui s’engagent à fond pour la liberté et l’indépendance. En politique surtout, où ce combat est plus indispensable que jamais. Dans les Jeunes UDC, des jeunes gens comme moi peuvent poser des jalons afin que la Suisse puisse continuer de vivre dans la paix et la prospérité. Une baisse des impôts et des taxes est un premier pas dans cette direction. L’intervention de puissances étrangères en Suisse est inacceptable pour la plupart des jeunes de ma génération. Ce n’est pas la tâche de l’Etat de vider les poches des jeunes, l’élément le plus faible de la société, et de les priver de leur liberté en passant des mauvais accords avec l’étranger. L’Etat doit au contraire protéger les citoyens et assurer les bases pour que chacune et chacun puisse assumer ses responsabilités.

Seule l’UDC tient ses promesses électorales

Il faut combattre les politiciens irresponsables et avides de pouvoir qui font des belles promesses avant les élections pour les oublier aussitôt élus, défendre leurs intérêts personnels et voyager à travers le monde sans se préoccuper des problèmes de la Suisse. L’UDC n’est pas ainsi. Elle fait ses promesses électorales par écrit et s’y tient. Voilà pourquoi je suis candidat des Jeunes UDC.

L’UDC se bat très concrètement pour les intérêts des jeunes en demandant une réduction de la dette et des impôts, une meilleure sécurité pour tous et l’indépendance du pays. Jeunes et moins jeunes, riches et pauvres, ménagères et agriculteurs, apprentis et employés, l’UDC réunit toute la diversité du peuple suisse. L’UDC est là pour tous. C’est le parti de la Suisse!

Si je m’engage aussi intensément pour l’UDC, c’est parce que j’y retrouve mes idées personnelles sur la société et l’Etat. Moi aussi, je veux encourager la responsabilité individuelle dans un pays libre et sûr, préserver les droits des citoyens, maintenir un Etat social qui assume ses tâches essentielles et rien d’autre. Je suis convaincu par le programme UDC qui répond à mon propre engagement politique et à mon idée de l’avenir de la Suisse. J’espère que ma candidature au Conseil national est un petit pas dans cette direction.