Beaucoup de gens, mais plus particulièrem les femmes, les personnes âgées et les jeune ont peur de la violence et de la criminalité. Ils osent à peine sortir de leur maison ou, le soir venu, évitent des rues sombres, voire des quartiers entiers. La réalité est fort simple: la majorité des crimes violents, par exemple les viols, sont commis par des étrangers. La souffrance des victimes est immense – et les coûts pour la collectivité sont énormes. La peur de la criminalité paralyse. Le peuple suisse a donc approuvé en 2010 l’initiative sur le renvoi des étrangers criminels dans l’espoir que l’autorité réagirait rapidement. Tel n’a malheureusement pas été le cas. Le Conseil fédéral et le Parlement ont constamment reporté l’application de l’initiative pour finalement adopter une loi d’application inapte. Conséquence: la Suisse continue de n’expulser qu’environ 500 malfaiteurs par an, alors que plusieurs milliers de délinquants étrangers ayant commis des crimes graves devraient quitter notre pays après avoir purgé leur peine.
C’est précisément pour que les criminels violents et autres malfaiteurs étrangers soient expulsés rapidement et sans tergiversations que l’UDC a lancé son initiative de mise en œuvre. Celle-ci appliquera enfin la volonté du peuple permettant d’accroître la sécurité en Suisse si elle est acceptée. Car l’initiative de mise en œuvre est immédiatement et directement applicable. Elle offre une solution à la fois rigoureuse et mesurée:
- une expulsion des délinquants doit être exécutée en cas de délits graves (par ex., meurtre, brigandage, viol, etc.), indépendamment du fait que le délinquant est récidiviste ou non;
- une expulsion est en outre prévue pour les récidivistes ayant commis des délits qui menacent gravement l’ordre et la sécurité publics (par ex., lésions corporelles simples, menaces contre les autorités, etc.).
Voilà Chères Concitoyennes et Chers Concitoyens, vous aurez enfin l’occasion de décider s’il faut véritablement agir dans ce domaine.