Les changements climatiques inquiètent de nombreuses personnes. C’est compréhensible. Ce qui l’est moins, c’est que les idéologues de la gauche et des verts abusent
sans aucune gêne de cette situation pour tenter d’imposer leurs recettes inefficaces.
Nous devons nous y opposer et faire appel à la raison.
On commence par semer la panique pour ensuite imposer plus facilement la transformation socialiste de la société. Voilà la stratégie politique des idéologues climatiques de la gauche et des verts qui se mettent actuellement en scène grâce à un appui médiatique jamais vu jusqu’ici et qui n’hésitent pas à abuser de la bonne foi d’un public souvent mal informé.
La classe moyenne sera arnaquée moyennant de nouveaux impôts et redevances et cet argent sera redistribué. Les citoyennes et citoyens seront rééduqués afin qu’ils modifient leur style de vie. Les arts et métiers et l’agriculture seront mis sous tutelle par de nouvelles prescriptions. Sous les habits verts à la mode, la gauche cherche à imposer un carcan socialiste et à prendre le pouvoir. Voilà la réalité.
Tricheurs à la table de jeu
Ce sont exactement les mêmes milieux, qui veulent interdire la voiture aux pendulaires, bannir la viande des cantines et tirer l’argent des poches des travailleurs avec des nouveaux impôts sur le climat, qui sont également pour la libre immigration et qui poussent la Suisse dans l’UE. Ils sont responsables de l’augmentation de la population suisse d’un million d’habitants en 12 ans seulement ; ils sont responsables d’une Suisse à 10 millions d’habitants que nous aurons bientôt. C’est leur politique qui provoque l’augmentation de la consommation d’énergie, le bétonnage des paysages, une consommation sans borne.
Ce sont ces mêmes milieux qui se présentent aujourd’hui en sauveteurs verts de l’humanité. Il ne faut pas se laisser leurrer par les trucages effrontés de ces faux prophètes.
Garder le sens de la mesure
Nous devons réagir raisonnablement aux inquiétudes des gens face au changement climatique. Nous devons faire appel au bon sens humain et
garder le sens de la mesure : produire et acheter localement, protéger l’environnement de manière pratique via le recyclage et la récupération de matières premières, miser sur des technologies nouvelles et plus économiques, gérer raisonnablement l’immigration, ménager nos paysages, modérer nos exigences dans notre vie personnelle. Les démarches efficaces ne manquent pas. L’extrémisme rouge-vert est en revanche nuisible pour la Suisse.