46% des chômeurs et des bénéficiaires de l’aide sociale sont aujourd’hui des étrangers. Cette proportion est deux fois plus élevée que la part des étrangers à la population totale. L’immigration de masse a déclenché une bombe à retardement qui fera exploser nos institutions sociales.
Le Conseil fédéral est désormais contraint d’avouer que les conséquences de l’immigration démesurée subie par la Suisse sont incalculables. Par exemple, l’AVS bénéficie certes de cotisants supplémentaires grâce à l’arrivée en force d’étrangers, mais ces mêmes cotisants revendiqueront un jour une rente. Ou, en d’autres termes : l’AVS ne peut être financée à long terme selon le principe de la boule de neige.
L’assurance-chômage surchargée
L’assurance-chômage ressent aujourd’hui déjà les effets négatifs de l’immigration. Alors que les Suissesseset les Suisses versent dans l’ensemble beaucoup plus qu’ils ne perçoivent, les citoyens UE ne financent que 80% des prestations AC qu’ils touchent. Les ressortissants de pays tiers bénéficient même de prestations de chômage égales au triple du montant total de leurs cotisations. Cette situation inacceptable pourrait rapidement s’aggraver si les conditions économiques se détériorent.
L’aide sociale, un baril de poudre
Mais la situation est particulièrement grave dans l’aide sociale dont les charges ont plus que doublé entre 2003 et 2012 pour atteindre 2,4 milliards de francs. Cette facture est surtout alourdie par le secteur de l’asile puisque plus de 83% de ces personnes touchent l’aide sociale. Ce taux dépasse même 90% pour certains ressortissants comme les Erythréens. Ces personnes ne trouveront sans doute jamais un travail et resteront indéfiniment à charge des communes – d’où une augmentation des impôts et des tensions sociales.