L’UDC s’oppose à l’approbation de la Convention contre le trafic d’organes humains. Selon les explications du Conseil fédéral, la Suisse répond aujourd’hui déjà aux dispositions essentielles de cette convention.
Il est donc superflu que la Suisse se lie de surcroît au niveau du droit international public et prenne éventuellement des engagements dont la portée réelle n’est perceptible qu’a posteriori. Dans la mesure où la législation suisse doit tout de même être adaptée, il suffira de procéder ponctuellement en fonction des besoins effectifs et en agissant par la voie parlementaire usuelle.